… Le poids d’une âme. Merci à Arnaud de m’avoir confié ce projet.

Un tattoo réalisé chez Forbidden Colors à Quimper en 2010, à l’époque où j’y étais résident,  et qui depuis à pris le soleil d’Afrique.

J’aime le tattoo quand il raconte une histoire, celle ci parle du « jugement de l’âme ». Vous aurez peut être reconnu Anubis, dieu de la momification (dans sa version zombifiée) et il est ici accompagné d’Ammit la dévoreuse des âmes impures.

Dans la mythologie égyptienne, Ammit, La dévoreuse des morts est la déesse qui, lors de la pesée du cœur, dévorait les âmes des humains jugés indignes de continuer à vivre dans l’au-delà. Elle est représentée avec un corps d’hippopotame, une tête de crocodile et des pattes avant de lion.

On la trouve attendant aux côtés de Thot et d’Osiris, dans la salle du jugement des deux vérités, le verdict de la cérémonie de la pesée du cœur, où le cœur du défunt est déposé dans une balance dont le contre-poids est la plume de la vérité (symbole de Maât). Si le cœur du défunt est plus lourd que la plume de Maât, c’est qu’il est chargé de trop de péchés, et Ammit est chargée de dévorer son âme, le Bâ, empêchant ainsi l’âme du coupable de retrouver son corps pour ressusciter dans le monde des morts. (source : wikipédia).

La pièce a été commencée à Quimper chez Antho Forbidden Colors et finie chez Frank Concarn’Ink à Concarneau.

Un cover (voir tof ci-dessous) sur monsieur Le Moelleux. La première fois que je réalise ce genre de pièce en couleur, et putain c’était cool à faire ! J’ai d’ailleurs une ou deux « petites » occasions à saisir dans le domaine à soumettre bientôt aux amateurs de ce genre ! Piqué en 4 séances à Clermont-Ferrand.

Réalisé à rennes au 7 rue d’Echange en deux séances, une pièces plus « bucolique » que mes réalisations habituelles. Comme quoi je peux faire autre chose que du crâne et du brutal… et y prendre du plaisir ! Merci à Willy pour m’avoir proposé cette pièce.

Le haut de dos black metal terminé (voir post du 9 mai). Une dernière photo dans quelques semaines quand tout ça sera cicatrisé et que les gris ce seront posés. Encré chez Frank « Concarn’Ink ».

La calavera d’Olivier(postée le 13 mai), piqué à Rennes, une fois cicatrisée avec les poils qui ont repoussé dessus… Comme ça je réponds à une question fréquente par la même occasion, non le tattoo n’empêche pas la repousse desdits poils (au grands drame de ces demoiselles).

Le crâne tramé d’Etienne (fait à clermont-Ferrand, posté le 23 mai) une fois la cicatrisation terminée (ou presque).